Un nouveau monde (Pv avec Malory Malkoff)

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Aujourd'hui c'est un jour très important. Je me dois d'être présent. Après toutes ses mésaventures, toutes ses rencontres qui m'ont montré d'un côté qu'il me restait encore de l'humanité ou de l'autre que j'étais un homme en quête de l'ultime pouvoir, je devais me rendre au siège des Nations Unies. Notre président bien aimé est présent là-bas. Il va expliquer au cours de l'entretien avec les autres présidents du monde ce qui se passe en réalité dans l'ombre. Il m'a demandé d'être présent. J'ai vraiment le trac mais comme dirait mon père, il faut savoir la surmonter. Mon humanité est encore là mais mon envie de pouvoir aussi. Je ne sais pas ce que je ressens exactement. Je suis triste mais j'ai également hâte d'être là-bas. Je me rends en voiture là-bas. Heureusement que le président m'avait passé un passe la première fois que nous nous sommes rencontrés. J'arrive tranquillement par la porte de derrière. Officiellement, je ne suis pas invité. Officieusement, je suis l'un des acteurs du changement de notre société. Qui sait, je pourrais devenir un jour le prochain président des Etats-Unis. Oh, mon dieu, mon envie de pouvoir est revenue. Tyler, aide-moi ! Je me gare et je rentre ensuite par la porte de derrière. Quelqu'un m'attendait et me donne une carte que je prends avec plaisir. C'est un mot du président qui me précise que je dois venir dans 30 minutes. C'est très bien. Je vais aller dans un restaurant pas loin du siège. Je vais pouvoir me reposer un peu avant cette importante réunion qui va changer le cours de ma vie. Je sors et là, je vois deux types qui me regardent bizarrement. Oh, non, pas la Compagnie. Maman, tu n'aurais pas osé faire ça à ton propre fils. Tu voudrais que je revienne vers toi. Il n'est pas question que je fasse ça. Je marche tranquillement jusqu'au bar,restaurant le plus proche. Là, les deux hommes ne pouvaient rien faire et partent tranquillement. Je m'installais au bar. Je faisais signe au barman de me servir un whisky. Je regardais autour de moi afin de savoir s'il y avait des agents pas loin. Mais quand je me tourne, je vois une femme qui rentre. Elle est en tout cas très classe. Qui est-ce ?

Nathan : Servez ce que vous voulez à cette dame juste devant la porte.

Elle s'avance et va jusqu'au bar.

Invité

Malory était vêtue de son tailleur blanc et une paire de lunettes solaires sur le nez lorsqu'elle sortit de son taxi privé, au préalable conduit par un chauffeur exécrablement cher pour la classe moyenne. Mais la veuve Malkoff se fichait du prix, tant elle pourrait avoir ce qu'elle désirait. Avançant avec détermination vers l'hôtel restaurant bar assez proche des Nations Unies pour qu'elle puisse y faire un tour après avoir déjeuner, la cinquantenaire tout droit débarquée de San Francisco salua les deux portiers lui faisant face, étant elle même une habituée des lieux. Elle avait pour habitude de sillonner l'Amérique, c'était son métier, après tout, et celui ci prenait la majeur partie de son temps. Elle se raccrochait à ça. Business, communication, plans officieux et tactiques diplomatiques, car oui, à défaut de ne pas être politicienne, Malory Malkoff avait tout de la diplomate et savait bavasser avec intelligence et sociabilité.

* Me voilà dans le terrier à pouliches de luxes des plus grands politiciens de ce pays. *

Mais Malory n'eut pas la temps de considérer cette réflexion que la femme aux cheveux de neige s'installa au bar, où elle commanda avec discipline un cocktail non-alcoolisé. Lisant le Times avec attention tout en sirotant son breuvage, ce ne fut que lorsqu'elle sortit son porte-feuille que le barman l'interpella.

Barman: L'homme au bout à droite met vos consommations sur son compte madame.

La cinquantenaire acquiesça, étonnée. Voilà dix minutes qu'elle était entrée dans la bâtisse, et la lassitude de sa lecture l'affligea en un instant, de plus qu'un mystère nouveau vint titiller la veuve Malkoff: qui était cet homme ? Souriant prestement au barman, la femme originaire du Massachusetts se leva avec élégance, s'avançant sans retenue vers l'homme accoudé au comptoir, son visage était caché de la vue de Malory. Costard, cravate parfaitement ajustée, tact dans une coiffure impeccable, montre scintillante et apparaissant discrètement sous la manche de chemise du dit homme. Un politicien, Malory en était persuadée, mais lequel ? Une vieille connaissance peut-être ? Non. Mais bien que la Malkoff n'avait jamais parlé à ce gentleman, son visage lui était familier.

- Que me vaut cet honneur, sénateur Petrelli ?

Avançant sa main avec respect vers son interlocuteur qui venait de se redresser, Malory lui afficha un sourire poli mais curieux. Le sénateur Petrelli...

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Je me lève afin d'accueillr cette dame qui venait vers moi. Elle me souriait. Je lui souriais à mon tour. Je serre la main de cette dame. Je suis quand même galant. Mais j'ai vu qu'elle accepta donc que je paye ce verre. Je l'invite à s'asseoir tout d'abord ce qu'elle fait et ensuite je m'asseois également. Elle est en tout cas très charmante. C'est vrai que je me pose une certaine question. Pourquoi est-elle là ? Mais j'y pense, serait-elle au courant de la réunion privée entre moi et les divers chefs d'état ? Je ne sais pas du tout. Mais je ferais mieux peut-être de poser cette question d'abord. Elle est peut-être au courant des hommes qui tournent autour du siège des Nations Unies. Je sais une chose : ce n'est pas moi le responsable. Elle pouvait savoir peut-être quelque chose. On ferait tout d'abord mieux de faire connaissance. Ensuite, nous verrons la suite des évènements.

Nathan : Bonjour, madame. Je vous avais vu là-bas seule. Il me semblait déjà vous avoir vu au service communication. Je me suis dit que nous pouvions discuter. Vous me connaissez mais par contre, je n'ai pas l'honneur de vous connaître. Quel est votre nom madame ? Vous êtes venue pour la réunion de chefs d'état ?

Je buvais une gorgée de mon verre de whisky. C'est vrai que son visage ne m'était pas inconnu. Il me semblait bien l'avoir déjà vu. Si ça se trouve, je ne suis pas seul à me rendre là-bas aussi. J'attends sa réponse. Ensuite, éventuellement, je pourrais savoir si elle a remarqué des hommes qui tournaient autour du siège.

Invité

Malory se laissa prendre de conversation par l'aîné Petrelli, lui proposant un nouveau verre, mais cette fois ci à ses côtés. Bien que la Malkoff eut été bien plus célèbre il y avait une trentaine d'années de cela, l'ignorance du Petrelli n'était ni choquante, ni outrageuse: depuis déjà quelques temps, la veuve aux cheveux de neige préférait être discrète. Elle n'ignorait pas les bouleversements qui ébranlaient la société actuelle, et bien plus que par le passé. Des personnages dotées de pouvoirs extraordinaires, des sociétés secrètes en actions, des personnages hauts placés se trouvant corrompus par cette... magie ? Science ?

- Je suis Malory Malkoff, sénateur. Quand à la réunion des chefs d'états, j'avoue qu'il y a encore dix ans de cela, j'y aurais sans aucun doute assisté, mais ma venue à Manhattan est d'ordre personnel, surtout lorsque je me fais servir à boire par une personne de votre marque.

Redressant son second cocktail vers la charmant Nathan, Malory plongeant ses lèvres marquées par le temps dans son breuvage bleuté, pensive. Vraisemblablement, l'aîné Petrelli était à Manhattan pour parler travail et affaire, mais ne se privait jamais d'une petite détente avant les conversations sérieuses. En vérité, si la Malkoff était là, c'était pour son fils, à titre officieux. Elle l'avait retrouvé, plongeant ses pensées dans un plan de tout les États-Unis. Son pouvoir... elle était l'une d'entre eux, et ne pouvait le nier.

- Votre séjour ici n'est pas de tout repos, je suppose ?

* Être épiée par ces deux gars au fond ne me plait pas. La Compagnie, ce ne peut être qu'eux... Sont ils ici pour Nathan ou bien pour moi ?

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Elle me propose un nouveau verre que j'accepte bien entendu. Je fais signe au barman de nous servir bien sûr la même chose. Et c'est ce qu'il fait. Elle s'appelle Malory Malkoff. C'était très jolie en tout cas. Elle n'y assiste donc pas mais c'est plutôt d'ordre personnel. Elle l'aurait assisté il y a une dizaine d'années mais aujourd'hui c'est moi. Elle a remarqué que je suis une personne de marque, c'est très gentil de sa part. Mais je ne suis quand même pas si célèbre que ça, je ne pense pas en tout cas. Je buvais une gorgée de mon second verre. Elle suppose que mon séjour n'est pas de tout repos, c'est le moins que l'on puisse dire en tout cas. J'ai vu ses hommes dehors. Et ils sont arrivés dans ce lieu. Pourquoi sont-ils là ? Si tu as l'intention maman de me récupérer, tu te trompes lourdement. Je ne t'ai pas pardonné ta trahison. Tu as fait de moi ce que je suis. Par contre, je dois absolument éviter de parler de ma petite réunion privée, c'est essentiel.

Nathan : Je suis enchanté de vous rencontrer Mme Malkoff. Cette réunion est très importante pour notre avenir. En tout cas, j'espère que cela aboutira à quelque chose de concret. C'est sûr, mon séjour n'est pas de tout repos et j'espère que le votre se passe mieux que le mien. Vous êtes ici pour ordre personnel, je vois. Je pense sincèrement que vous réussirez à tout règler. J'allais vous poser une question.

Je restais discret pour la suite de la conversation afin que les hommes postés pas loin ne m'entendent pas.

Nathan : Excusez-moi mais vous savez qui sont ces deux hommes là-bas. Parce que, je ne sais pas pour vous mais j'ai comme l'impression qu'ils ne sont pas là pour protéger les chefs d'état.

Je n'aime pas les deux hommes postés pas loin de nous.

Invité

Malory ne regarda pas les deux hommes que Nathan lui indiquait: elle les avait déjà vu et préférait se montrer discrète. Le Petrelli jouait-il réellement la carte de l'ignorance ? Cela étonnait la veuve Malkoff mais n'en montra rien. Malory avait déjà eu à converser avec la mère du sénateur, Angela Petrelli: une femme droite, de la même trempe que la Malkoff, mais aux idéaux quasi-opposées. A cette époque, la mère Petrelli avait insinué l'existence d'une "Compagnie" spéciale, mettant en garde la cinquantenaire aux cheveux de neige. Malory avait toujours gardé son pouvoir secret, mais il était clair que son influence et son argent intéressait cette "Compagnie". Nathan était-il ignorant quand aux faits de sa mère ? Cela paraissait invraisemblable.

- Je suppose que c'est soit votre mère qui les a envoyés pour vous, ou bien mon fils peut-être.

Malory avait toujours su être discrète, mais ici elle n'avait pas à surveiller ses propos: le sénateur Petrelli était au courant, il était quelqu'un d'influent et de célèbre, pas un petit diplomate de pacotille. Mais la Malkoff se devait de garder son pouvoir en réserve, bien qu'il était inutile en ce cas présent: mais peu importait, le secret valait bien plus qu'une traque indécente et éternelle. Le pouvoir de localisation... si abstrait et pourtant puissant à la fois. Une arme dangereuse qui devait se taire une fois de plus.

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Elle connait donc ma mère. Je le savais qu'elle les avait envoyés pour moi. Son fils peut-être ? Alors, son fils ferait partie de la Compagnie. C'est vraiment très intéressant et quelqu'un comme elle ne devrait pas subir une telle trahison. Je sais ce que c'est que d'endurer cette haine. Cela dévore quelqu'un de l'intérieur et je ne souhaite à personne de vivre mes calvaires et mes doutes. Cependant, elle peut-être une alliée très précieuse pour détruire cette Compagnie et donc ma mère. D'ailleurs, ma très chère mère ne devrait pas encore se ballader dans les rues. Elle devrait être enfermée avec les autres. Je sais, je peux être indigne mais elle m'a trahi. Elle m'a fait du mal, elle m'a fait souffrir. J'ai perdu mon semblant de vie. Elle mérite de payer. Malory Malkoff pouvait m'aider. Et par la même occasion, je pouvais l'aider aussi. Nous avons des intérêts communs.

Nathan : Ma mère serait capable de faire une chose pareille. Elle tente de me faire entendre raison mais par rapport à ce qu'elle m'a fait subir, je ne suis pas encore prêt à lui pardonner. Mais vous dîtes que votre fils aurait pu les envoyer.

Je reste discret.

Nathan : Il travaillerait pour la Compagnie ? Il ne mérite pas d'être dans ce genre d'endroit et je peux vous aider à le sortir de là. Je travaille de telle sorte à ce que la Compagnie n'existe plus, que ma mère arrête avec ses travaux. Nous avons des intérêts communs. Qu'en pensez-vous si nous travaillons ensemble ?

Désolé Noah mais c'est le jeu. La Compagnie doit être détruite à tout prix. Je viens peut-être de me trouver une alliée. J'attends sa réponse avec impatience.

Invité

La franchise de Nathan interpella Malory. Malory Malkoff... une parfaite joueuse d'échecs, ayant déjà bien des tours d'avance, et aujourd'hui, le sénateur Petrelli lui proposait un projet commun. Qui l'eut cru ? Mais la veuve Malkoff connaissait bien ces politiciens, toujours en quête de leur besoin personnel et de leur propre satisfaction... Elle n'avait jamais nié que le genre humain était égoïste, mais certaines classes l'étaient plus que d'autre. Pas instinct de survie, ou par besoin de... pouvoir ?

* Sortir mon fils de la Compagnie ? Impossible. John est le bras droit de Hardison, et est bien trop arrêté sur ses positions pour écouter sa propre mère. Mais ces gens dotés de pouvoir si fabuleux disparaissent... et qui sait, je serais peut être un jour sur la liste. En attendant, je ne veux plus voir ce monde à la con tomber dans de pareilles mains. Petrelli peut être utile. *

- Cher sénateur, vous m'avez l'air plutôt informé, dans ce cas, je suppose que le nom de John Malkoff ne vous est pas inconnu.

Malory tourne la tête discrètement vers Nathan, plantant son regard imperceptible dans celui de son interlocuteur. Ils devaient être plus discrets. Lui, comme elle.

* Un normal et un des leurs, c'est la règle. Il doit donc y avoir l'un des deux qui possède des pouvoirs spéciaux... vaut mieux se méfier.

- Barman ! Le salon privé numéro 16, comme d'habitude.

- Bien madame Malkoff.

Malory avait déjà posé ces marques dans cet hôtel qu'elle fréquentait à chacun de ses séjours New-Yorkais: le barman qu'elle venait d'interpeller ne se fit pas prier pour donner les clés de la suite numéro 16 à la veuve, faisant signe à Nathan qu'elle allait partir. Tendant et empoignant la main du Petrelli en signe d'adieu, la cinquantenaire aux cheveux blancs s'approcha de l'oreille du Petrelli calmement et discrètement afin de lui chuchoter ces quelques paroles:

- Un normal, un des leurs, vous devez connaître la règle de la compagnie. Rejoignez moi dans dix minutes dans la suite privée numéro 16.

Malory fila sans demander son reste vers son salon privé, faisant mine de quitte Nathan pour de bon. Mais l'endroit n'était pas prompt pour ce genre de conversations, et la cinquantenaire préférait parler secrètement dans un lieu plus discret, et plus sécurisé, fut-il encore que la moindre sécurité persiste dans ce monde corrompu.

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Elle était méfiante face à ma proposition et c'est normal. Mais elle me donna alors le nom de John Malkoff. Cela doit être son fils. Selon certaines sources que j'avais, il travaillait effectivement pour cette Compagnie et surtout pour Lewis Harrison. Encore un des hommes de ma mère. On devait être encore plus discret. Il est possible que l'un des deux hommes ait un pouvoir.

Nathan : Ce nom me dit quelque chose en effet.

Elle disait au barman le salon privé numéro 16. Je pensais qu'elle allait rester et me donner plus d'explications. Le barman faisait ce que Malory disait. Elle me faisait signe qu'elle allait partir. Elle me serrait la main en guise d'adieu. Mince, j'avais perdu mon allié. Mais elle venait près de moi et me disait à l'oreille la devise de la Compagnie. Elle était bien au courant. Elle me donna rendez-vous dans la suite privée numéro 16 dans dix minutes. Je faisais signe comme quoi j'étais d'accord. Je vais avoir une alliée de taille. Elle parta donc vers son salon privé. J'attendais tranquillement les dix minutes afin de lui laisser le temps de tout préparer.

Invité

Malory patientait soigneusement dans sa suite Nathan Petrelli. Les 10 minutes étaient presque écoulées, et la veuve originaire du Massachusetts espérait que les deux hommes n'agresseraient pas le sénateur. Après tout, non. Ils ne pourraient pas, c'était un suicide social et une mort directe de la Compagnie.

* Règle numéro 1 Malory: tu ne révèles pas ton secret. Personne, absolument personne n'est au courant, le Petrelli n'en saura donc rien. Règle numéro 2: pas de pitié, comme d'habitude. Je veux faire couler la compagnie comme le sénateur, mais je ne le connais pas, et ne peux pas lui faire confiance. Numéro trois: John. Quand l'heure sera venue, devrais-je le tuer, ou jouer mon rôle de mère ?

Malory n'eut pas le temps de réfléchir plus longtemps que trois petits "Toc" provenant de la porte l'interpellèrent. Nathan. Ce ne pouvait être que lui.

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Elle était partie dans le sallon privé. J'attendais patiemment. Je me levais tranquillement. Les deux hommes étaient toujours là. Je n'aime pas ça du tout et quand je voyais que les dix minutes étaient écoulées, je me dirigeais vers les deux hommes. Je n'avais pas peur d'eux. Je n'avais pas peur de la Compagnie mais surtout je n'avais plus peur de ma mère. Les deux hommes se demandaient pourquoi je faisais ça. Ils avaient raison d'avoir peur. Je suis là. Je veux détruire la Compagnie et j'obtiendrais ce que je veux. Je m'arrêtais net devant eux.

Nathan : Bonjour à vous deux. Dîtes-à ma mère que je ne reviendrais pas et que la trahison se paye très cher !

J'allais voir directement le barman tandis que les deux hommes sortaient en courant. Le barman me faisait signe que tout était sur mon compte. Je lui donnais bien sûr un pourboire. J'étais satisfait. Le barman me faisait signe d'aller tout droit et ensuite à droite. J'étais d'accord là-dessus. Je me dirigeais immédiatement vers l'endroit où m'attendait Malory. J'arrive devant la porte. Je frappais à la porte trois fois afin qu'elle en déduise que c'était moi. Elle ouvra la porte.

Nathan : Ses deux personnes ne nous dérangeront plus. Elles ont pris la fuite. Nous pouvons donc discuter tranquillement.

Elle m'invite à entrer et c'est ce que je fais.

Nathan : Parlons donc de cette Compagnie. Je vous assure de suite. Je ne vais pas faire de sentiments concernant ma mère. Elle a fait des choses abominables et elle mérite aussi de payer comme tout le reste de cette organisation. Ce qui m'importe c'est que cette organisation s'arrête de fonctionner. Je peux vous aider à sortir John de cet enfer. Je sais une chose c'est que cette organisation est capable de beaucoup de choses pour agrandir ses troupes comme la torture, le chantage. Il est possible que votre fils ait été victime de leur manipulation. Il suffit de lui montrer que la réalité est toute autre.

Elle m'écoute attentivement. J'espère qu'elle sera d'accord de travailler avec moi afin de détruire cette Compagnie.

Invité

Malory écoutait le sénateur Petrelli calmement, comme si elle était détachée de ses paroles. John ? Le changer ? Non. Peut être que la fils Malkoff avait été ce que sa mère avait toujours refusé de faire. Ces tentations de pouvoirs auxquelles elle n'avait jamais céder.

- Vous avez été à la rencontre de ces deux hommes ? Ce n'était pas nécessaire, mais maintenant qu'ils ne sont plus là, il est vrai que je me sens mieux. Tout du moins s'ils sont réellement partis. Je vous sers quelque chose sénateur ?

Se levant sans écouter la réponse du Petrelli, la veuve Malkoff aux cheveux blancs soutira du mini bar deux verres ainsi qu'une bouteille de vin blanc léger et fin. Le but n'était pas qu'ils finissent ivres morts, mais que les délices d'une telle boisson allège les conflits actuels de leurs esprits.

- Et bien, je me vois dans l'obligation de vous parlez de mon fils, sénateur Petrelli, afin que les pendules soient à l'heure entre vous et moi. Il y a bien longtemps de cela que son cas est inéchangeable. Il a choisi sa voie, je ne peux plus rien pour lui, et lien de sang ou non, je ne fais pas dans els sentiments avec lui, tout comme vous et votre mère. J'espère que la situation est maintenant assez claire à vos yeux sénateur.

La Malkoff sirota son breuvage, tout en toisant avec curiosité Nathan. Il donnait l'air dans savoir beaucoup sur la Compagnie, mais en savait-il vraiment comme il le prétendait ? Et cette atmosphère de "j'en-sais-bien-trop" émanant de lui lui serait-elle favorable ? Malory préférait rester dans le cadre de l'ignorance, elle qui connaissait bien des faits et gestes du la dite Compagnie. Et surtout, ne pas montrer ses motivations. Pas maintenant.

- Qu'attendez-vous de moi sénateur ?

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Elle me dit que ce n'était pas nécessaire d'aller voir ses deux hommes mais je voulais montrer à ma mère encore combien je pouvais la détester. Je voulais bien quelque chose en effet. Elle sortait deux verres ainsi qu'une bouteille de vin blanc léger d'un grand cru d'ailleurs. Cette discussion pouvait continuer. Je savais donc qu'elle était intéressée par ma proposition. Je prenais le verre et je buvais une gorgée. Elle me dit que son fils ne changera pas de voie. Il l'avait choisi. Elle ne ferait pas de sentiments avec son fils. Je pense que la situation est claire. C'est ce que je pensais également pour mon cas jusqu'à ma rencontre avec Tyler. Il m'a ouvert les yeux sur ce que j'étais. Je suis en perpétuel combat intérieur. Je ne pensais pas qu'il existait une relation du même genre que ma mère et moi.

Nathan : Merci pour la proposition. Ce vin est excellent. Pour les deux hommes, ils sont réellement partis. Ma mère pense obtenir les faveurs de son fils mais elle a fait des choses ignobles. Je ne peux ignorer ce qu'elle a fait. Je comprends pour votre fils, je comprends également que vous ayez perdu l'espoir. Mais il existe toujours une autre route, une autre voie à suivre. C'est quelqu'un qui m'a appris ça.

Je la voyais boire son verre. Elle devait se poser des questions sur moi, c'est évident.

Nathan : Ce que j'attends de vous, c'est des informations bien entendues. Ce que je cherche avant tout c'est le point faible de cette Compagnie, son talon d'achille afin de détruire toute l'organisation. Ce que je sais pour ma part c'est qu'il y a toujours eu conflit entre les fondateurs. Ma mère fait partie justement de ces fondateurs. J'aimerais savoir déjà si vous aviez quelques informations sur son travail au sein de la Compagnie.

Si je me servais du point faible de ma mère. Ensuite, je verrais si je parle éventuellement de l'homme sur la photo. Elle l'a peut-être déjà vu.

Invité

Nathan entrait dans le vif du sujet: la Compagnie. Que pouvait dire Malory sur ce sujet ? En vérité pas grand chose. Elle connaissait quelques têtes déjà de l'organisation et de par son pouvoir connaissait chaque fait et geste des dits membres.

- Des informations ? Il est vrai que ma situation plutôt privilégiée avec le gouvernement en place et mes contacts ne vous ont pas échappé. Je ne peux vous informer sur les agissements exacts des membres de la Compagnie, mais j'ai certains dossiers disons... confidentiels répertoriant leurs déplacements dans le monde entier. Je dois dire que mes détectives bossent bien.

Faisant tourner son verre afin que le vin blanc se délecte des parois du récipient, la veuve Malkoff fouilla dans son sac de vieux cuir pour y sortir une paire de lunettes de vue, et un répertoire de contacts, d'adresses. Y jetant un rapide coup d'oeil, la Malkoff le remit dans son sac et le ferma. Bien des coordonnées s'y trouvait.

- Et que me proposez-vous en échange de mes services ?

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En effet, sa situation ne m'a pas échappé du tout. Elle a un lien très privilégié avec le gouvernement en place. Elle est aussi en contact avec le Président. Elle a aussi certains dossiers concernant les déplacements des membres de la Compagnie dans le monde entier, c'est très intéressant. Ses détectives travaillent bien. C'est parfait. Je pourrais en plus lui augmenter son effectif.

Nathan : C'est vraiment très intéressant. Cela pourrait m'aider en tout cas.

Elle fait tourner son verre. Je bois une gorgée du mien. Ensuite, elle regarde dans son sac. Elle sort une paire de lunettes de vue mais aussi un carnet. Elle regarde et puis remet le carnet dans son sac. Elle le referme. Elle me demande ce que je pourrais proposer en échange de ses informations. C'est quand même une aide très précieuse. Si elle a un désir particulier, je peux l'exaucer.

Nathan : Ce que je peux vous proposer ? Ce que vous voulez bien entendu. Si vous avez un désir particulier, je peux contribuer à le réaliser.

C'est une réponse parfaite. Si j'avais proposé quelque chose, elle aurait très bien pu dire non. Elle est d'une très grande classe. On ne peut proposer n'importe quoi.

Invité

Malory n'est pas du genre à s'associer. Certes, les évènements actuels étaient prompts au changement, mais la veuve Malkoff était strict sur ce point, et même s'il elle donnait l'air de donner confiance au sénateur, elle restait sur sa réserve. Méfiance. La cinquantenaire originaire de Boston était d'une méfiance sans faille.

* L'appuie d'un sénateur peut m'être utile autant que mon soutient lui est redevable. J'hésite... De plus que mes détectives ne sont ni plus ni moins que des gardes du corps. Mon propre détective, c'est moi. Mon pouvoir. Mais ce secret ne tient qu'à moi. *

- En échange de mes services, je veux tous vos dossiers et vos recherches actuelles et passées sur la Compagnie, ses potentiels membres. Absolument tout.

Le prix était cher, et la Malkoff en avait conscience. Par son influence sans limites et surtout grâce à son pouvoir, elle pourrait pister pour Petrelli des membres de la Compagnies quand il le voudrait. C'était donnant-donnant. Des informations contre d'autres informations. Mais Malory ne comptait pas s'investir entièrement avec le sénateur, non. Elle voulait écraser la Compagnie lentement, mais surement, et non pas que sur un seul front. Elle savait comment l'affaiblir, mais Nathan Petrelli ne l'aiderait pas dans cette face cachée de la bataille. Elle jouait sur plusieurs tables, sur plusieurs tableaux, quitte au final à s'en mordre les droits...

# WARRIOR #

Elle souhaite tous mes dossiers et mes recherches concernant la Compagnie et ses potentiels membres. Heureusement que j'ai gardé soigneusement auprès de moi les dossiers concernant me concernant, mais aussi les dossiers de mon frère et de Claire. Je ne tiens pas bien sûr à ce que l'on découvre mon secret, mon grand secret. Elle aura bien sûr tous les dossiers. Heureusement que j'ai toujours bien sûr deux exemplaires.

Nathan : Vous aurez bien sûr tous les dossiers ainsi que mes recherches concernant bien sûr la Compagnie. C'est tout à fait normal. Est-ce que je vous les envoie par contre ? Ou est-ce que vous voulez que nous prenons un rendez-vous afin que je vous les apporte personnellement ? A condition que vous soyez d'accord pour détruire la Compagnie avec moi.

J'attends sa réponse avec impatience. Je me pose éventuellement la question de savoir si l'homme a fait partie de la Compagnie, c'est possible. Cette enquête-là est plus une question personnelle que je dois règler.

Invité

Malory toisait curieusement Nathan. Détruire ensemble ? Ce n'était pas exactement ce que Malory désirait. Elle voulait la détruire, point final. Et son double jeu devait rester secret au sénateur. Cela ne regardait que la Malkoff.

- J'ai d'autres affaires en cours et notre collaboration restera limitée sénateur. Mais je me ferais une joie de vous aider dans cette entreprise. Quand à mon domicile, voici ma carte: je vous conseille de venir à ma villa de San Francisco car je ne vais que rarement dans celui de New York, que je quitte d'ailleurs ce soir même.

Maintenant, les bases sont posées. Entrons dans le vif du sujet.

- Connaissez beaucoup de personnes "spéciales", sénateur ?

Malory avait opté pour la franchise. Elle ne désirait pas dévoiler son secret, mais devait interroger le sénateur Petrelli sur ce point. Était-il réellement au courant ?

# WARRIOR #

Elle a bien sûr d'autres affaires en cours. La collaboration restera limitée. C'est même très bien. J'aime les femmes décidées et qui savent ce qu'elles veulent. Je prends la carte de Malory. Elle me conseille plutôt d'aller dans sa villa de San Francisco. Elle quitte New-York ce soir même, je vois. C'est donc pour ses affaires. Elle est très occupée, c'est normal.

Nathan : Je comprends tout à fait. Merci en tout cas de m'aider. Ce sera une collaboration très intéressante. Je vous enverrai les dossiers ou plutôt, c'est mieux, je viendrais vous voir pour vous apporter les dossiers.

Elle me teste c'est sûr. Elle me demande si je connais beaucoup de spéciaux. J'en connais mais vaut mieux que je reste vague là-dessus. Certains travaillent pour moi désormais. D'autres sont des ennemis.

Nathan : Vous connaissez le cas de Sylar ? C'est un tueur en série. Il est en quête de pouvoirs. J'ai aussi un autre nom qui fera référence directement à la Compagnie : Elle Bishop. J'ai eu récemment un coup de téléphone de la part de la police concernant une criminelle du Mexique : Maya Herrera. Elle serait peut-être à New-York.

J'espère que ces noms lui évoqueront quelque chose. Je sais que le test est réussi en tout cas. Je connais mon domaine.

Invité

Sylar. Ce pseudonyme mit immédiatement la puce à l'oreille à Malory. Sylar... Naturellement, elle n'était pas sans ignorer qui était ce tueur, et pour parler dans la franchise, il l'intriguait.

- Elle Bishop ? J'ai connu son père, Robert, lorsqu'il était encore de ce monde. Je reconnais que pour un homme de la Compagnie, il n'était pas désagréable et offrait à cette organisation des ouvertures plus larges, de son vivant.

Maya Herrera ? Ce nom ne disait rien à la veuve Malkoff, intriguée. Le sénateur venait de lui livrer trois noms, certes, mais ils ne devaient pas être si primordiaux pour que le Petrelli les lâche sans retenue.

- Sylar ? Oui, cet individu ne m'est pas inconnu, bien que je ne l'ai jamais rencontré... Un personnage fascinant.

Personnage, oui. Car il était certain que derrière le personnage de Sylar, pur protagoniste joué par un être humain, se cachait une vraie personne. Malory ne croyait pas en l'intégrale rédemption, mais laissait le bénéfice du doute. Certaines personnes sont nées avec le pouvoir de changer les choses, mais pas de changer eux-même. D'autres, si.

* Sylar serait plus utile dans la destruction de la Compagnie que dans ses rangs. *

# WARRIOR #

Certaines informations lui disaient quelque chose en effet. Elle a connu Robert Bishop comme moi. Il m'avait aidé à remettre Peter dans le droit chemin même s'il me l'avait caché pendant plusieurs mois. Elle était d'accord sur le fait que Robert pouvait offrir de larges possibilités à la Compagnie. Il aurait du rester en vie. Elle connaissait Sylar même si elle ne l'avait jamais rencontré. Elle dit que c'est un personnage fascinant. C'est le diable en personne. Il a essayé de me tuer. Il a essayé de tuer les miens.

Nathan : Je suis d'accord sur le fait que Robert Bishop aurait pu être utile à la Compagnie. Elle aurait pu changer mais Sylar l'a tué malheureusement. Je sais aussi qu'il avait un don. Sylar est par contre plus dangereux. Ma mère a tenté de le maîtriser mais il lui a échappé. Il ne peut être contrôlé. C'est un tueur né mais en même temps complexe. Je sais que la Compagnie aurait pu faire quelque chose pour l'arrêter mais au contraire, elle voulait l'étudier. Par contre, si vous le souhaitez, vous pouvez avoir une équipe à votre disposition.

J'ai apporté des informations complémentaires. J'attends sa réponse. J'avais dit certains noms mais je n'allais pas donner plus. Deux personnes travaillaient déjà pour moi. Il fallait qu'elles restent à mes côtés.

Invité

Malory n'avait pas foncièrement confiance en Nathan, mais n'en montra rien. C'était un diplomate, et ses belles paroles étaient faites pour berner son petit monde d'illusions utopistes. Il fallait qu'elle soit prudente.

- Une équipe ? C'est à dire ?

La Malory toisa vivement le Petrelli. Elle n'avait pas besoin d'équipe, ses seuls atouts venant d'elle même, et si elle avait besoin de renfort, elle connaissait les bons gars à employer dans ce cas là. Mais une autre question titillait la cinquantenaire. Peut-être plus étrange, mais pourtant vivace et audacieuse, compte tenu du secret de Malory. Une petite question à l'apparence inoffensive...

- Et, savez-vous où se trouve ce Sylar exactement ?

* Parce que moi, je le sais quand je veux... *

# WARRIOR #

Elle me posa la question. Je lui proposais une équipe capable de l'aider. Il faut que j'en explque davantage. Mais elle me demandait où se trouvait Sylar exactement. Ah, là c'est la grande question. La dernière fois que je l'ai vu c'était dans l'hôtel, dans la suite du président pour être exact. Il m'avait torturé. C'était une expérience assez douloureuse. Le pire c'est que j'ai du passer un pacte avec lui afin qu'il s'arrête. J'ai du donner mon frère. Le pire dans tout ça, c'est qu'il voulait attirer mon frère dans cette chambre. Ce jour-là, la rage était sortie. Je m'étais comporté comme Sylar. C'est ça qui m'a fait le plus peur.

Nathan : Une équipe pour vous aider. C'est la moindre des choses quelque part. Sinon, pour Sylar, il bouge beaucoup à vrai dire. La dernière fois que je l'ai croisé c'était à Pinehearst. Mon père a voulu également le manipuler. Depuis, je n'ai plus de nouvelles de lui. Je le trace afin de le trouver mais il bouge tellement que je n'ai pas une localisation précise.

Je devais faire attention. Je ne devais surtout pas parler de ce qu'il m'est arrivé dans la suite du Président. Cela ne doit pas se savoir.

Invité

- Merci sénateur, mais je n'ai pas besoin d'équipe. Mais l'attention y était, et je vous en remercie tout de même.

Incluant un sourire poli à sa réplique, la Malkoff toisa son verre quasi vide, y cherchant des réponses. Son breuvage ne semblait pas bien perspicace.

- Si un jour vous avez ce Sylar sous la main, j'aimerai m'entretenir avec lui. Sauf si bien sur cela vous gêne.

* Il pourrait être utile... Maintenant que j'y pense, il pourrait être encore plus utile que Curtis Fletcher... mais se ne sont pas le genre d'hommes que l'on manipule aisément. Je devrais être méfiante, comme d'habitude. *

- Autre chose sénateur ?

# WARRIOR #

Elle n'avait finalement pas besoin d'équipe mais elle me remercie quand même de l'avoir proposé. Je buvais une gorgée de mon verre. Cette fois-ci, il était vide. Elle me souriait. Je souriais à mon tour. J'étais satisfait de cette entretien. J'avais une nouvelle alliée avec moi. Mais ce qui est le plus surprenant, c'est qu'elle souhaite s'entretenir avec Sylar. C'est un monstre de la pire espèce. Il a tué beaucoup de personnes. Il a quand même tué le père d'Elle Bishop et beaucoup d'autres. Elle me demande s'il y avait quelque chose d'autre en particulier que je pourrais donner. Je verrais plus tard si je dois parler de cet homme. Je ne sais pas grand chose de lui à part peut-être qu'il a été l'une des victimes de Sylar, c'est tout. Je devrais avoir un dossier plus en détail de Sylar.

Nathan : C'est tout naturel que je vous propose d'avoir une équipe à votre disposition pour vous aider. Si d'ailleurs vous avez besoin d'un coup de main, je serais disponible bien entendu. Pour Sylar, c'est un monstre, un tueur et je ne souhaite pas qu'il vous arrive quelque chose. Mais si vous y tenez, je vous préviendrais bien entendu. Par contre, j'aimerais quelque chose de plus. Serait-il possible d'avoir le dossier plus détaillé justement de Sylar ?

Je ne sais pas ce qu'elle va me répondre. En tout cas, s'approcher de Sylar est dangereux. J'en ai fait malheureusement l'expérience.